Guide : comment éviter les arnaques et fraudes en 2026

Posted at 05 Déc 12:37h in Bitsa

Notre vie numérique croît de manière exponentielle : nous payons avec notre téléphone, achetons en ligne, effectuons des virements bancaires et gérons nos finances depuis des applications mobiles. Cette transformation digitale, bien qu’elle facilite notre quotidien, amplifie également notre exposition aux cybermenaces. Sans les mesures de protection adéquates, chaque transaction en ligne devient une porte d’entrée potentielle pour ces individus.

Force est de constater que les délits liés à la cybersécurité et aux arnaques augmentent chaque année. Selon l’École de cybersécurité (CSB School), le vol d’identité a augmenté de 30 % en 2024. Les cybercriminels exploitent l’immédiateté des transactions numériques, la confiance excessive des utilisateurs et la sophistication de leurs techniques pour mener des attaques de plus en plus élaborées.

Chez Bitsa, nous avons préparé ce guide pratique pour vous aider à identifier, prévenir et réagir face aux tentatives de fraude. Nous voulons que vous disposiez des outils nécessaires pour vous protéger sans complications inutiles.

Quelles sont les arnaques les plus courantes liées aux finances ?

Comme nous l’avons mentionné, les cybercriminels ont perfectionné leurs méthodes d’attaque, en particulier dans le secteur financier, où le bénéfice est immédiat. Connaître leurs tactiques les plus courantes est essentiel pour ne tomber dans aucun piège.

Ci-dessous, nous détaillons les types de fraudes financières qui font actuellement le plus de victimes, leur fonctionnement et les signaux d’alerte que vous devez identifier pour protéger votre argent.

1. Phishing

C’est l’arnaque la plus courante utilisée par les cybercriminels. Il s’agit de courriels frauduleux qui imitent des entreprises réelles. Ils incluent des logos, des adresses e-mail et un ton très similaire à l’entreprise qu’ils tentent de remplacer. Leur principal objectif est que les utilisateurs cliquent sur un lien qui les mène vers un site web frauduleux et qu’ils y partagent leurs identifiants de connexion ou d’autres données personnelles.

Par exemple, vous pouvez recevoir un courriel avec pour objet « Votre compte Bitsa sera bloqué si vous ne confirmez pas vos données » et un bouton indiquant « Vérifier maintenant ». La page vers laquelle il vous dirige est identique à celle de Bitsa, mais l’URL contient des erreurs ou un domaine suspect.

Pour le prévenir, faites attention à ceci :

Méfiez-vous de l’urgence artificielle : Les courriels légitimes n’utilisent jamais un ton alarmant ni ne vous pressent d’agir immédiatement. Chez Bitsa, nous ne vous contacterons jamais avec des messages menaçants ou générant la panique.
Vérifiez toujours l’expéditeur : Les courriels officiels de Bitsa proviennent exclusivement de domaines vérifiés comme soporte@bitsacard.com. Toute variation ou domaine similaire est un signal clair de fraude.
N’utilisez jamais les liens de courriels suspects : Accédez toujours à votre compte directement depuis l’application officielle ou en saisissant manuellement notre URL dans le navigateur. Les liens peuvent vous rediriger vers des sites frauduleux identiques à l’original.

Information importante : Bitsa ne vous demandera jamais vos identifiants, mots de passe ou codes par courriel.

2. Smishing

Le smishing est une technique de fraude qui utilise des messages texte SMS ou WhatsApp pour tromper les victimes. Les criminels se font passer pour des entités de confiance via des numéros falsifiés ou usurpés, en envoyant des messages contenant des liens malveillants.

La stratégie est toujours la même : créer une urgence artificielle par des menaces ou alertes fausses — blocage de compte, débit non reconnu, prix sur le point d’expirer — pour que vous agissiez par impulsion, sans analyser la situation. L’objectif final est de dérober vos identifiants ou d’installer un logiciel malveillant sur votre appareil lorsque vous cliquez sur le lien fourni.

Un exemple pourrait être : « Votre compte Bitsa a été suspendu pour des raisons de sécurité. Cliquez sur le lien suivant pour le réactiver ». Le lien vous mène vers un site web frauduleux qui tente de voler vos données ou d’installer un logiciel malveillant sur votre appareil.

Pour prévenir :

N’ouvrez jamais les liens inclus dans des SMS ou messages WhatsApp, même s’ils semblent légitimes.
Les messages envoyés par les banques et entités financières comme Bitsa n’ajoutent pas de liens vous demandant vos données personnelles.
En cas de doute, accédez directement à l’application ou contactez l’équipe de support via les canaux officiels et renseignez-vous sur votre cas.

3. Vishing

Le vishing est la fraude téléphonique dans laquelle les criminels se font passer pour des représentants de votre banque, d’entreprises de services ou même des autorités policières. Durant l’appel, ils créent un scénario d’urgence : débits non autorisés, accès suspects ou problèmes légaux nécessitant une action immédiate. Leur objectif est de vous manipuler pour que vous révéliez des informations confidentielles sous la pression.

Vous recevez un appel d’un prétendu « agent de sécurité de Bitsa » vous alertant sur des mouvements frauduleux sur votre compte. Pour vous « protéger », ils demandent vos mots de passe ou code de vérification. Dès que vous fournissez ces données, les escrocs obtiennent un accès total à votre compte et peuvent le vider en quelques secondes.

Conseils pour l’éviter :

Méfiez-vous de tout appel vous demandant des données personnelles, codes ou mots de passe.
En cas de doute, raccrochez et contactez vous-même le support officiel depuis l’application ou le site web.
Aucun employé de Bitsa ne vous demandera jamais vos clés ou codes de vérification, par aucun moyen ni pour aucune raison.

4. Fraudes aux achats en ligne

Les achats sur internet sont de plus en plus courants, c’est pourquoi les escrocs y portent beaucoup d’attention. Ils créent des sites web frauduleux qui ressemblent à de vraies boutiques ou publient des annonces sur les réseaux sociaux avec des offres incroyables : iPhone à 200€, baskets Nike à 15€, sacs de marque à 80% de réduction.

Que se passe-t-il lorsque vous achetez sur ces sites ? Vous perdez l’argent payé, ne recevez jamais le produit et les criminels gardent les données de votre carte pour effectuer d’autres débits ou les revendre.

Comment détecter ces pages :

Vérifiez toujours que le site dispose d’un cadenas SSL (https://) et de coordonnées claires.
Observez les détails suspects comme des prix excessivement bas ou des méthodes de paiement peu sûres.
Utilisez des cartes virtuelles comme Bitsa pour limiter le risque sur les boutiques nouvelles ou inconnues.

5. Arnaques au faux support technique

Les escrocs se font passer pour l’équipe de support pour vous voler vos identifiants d’accès. Ils vous appellent généralement en disant qu’il y a un problème grave avec votre compte : un piratage, des débits suspects ou qu’ils doivent vérifier votre identité de toute urgence. Durant l’appel, ils vous demandent directement vos mots de passe, code PIN ou codes de vérification « pour le résoudre ».

Autre variante courante : après vous avoir appelé pour créer l’alarme, ils vous envoient un courriel avec un lien vers une page identique à celle de Bitsa. En saisissant vos données sur ce site frauduleux, vous les donnez directement aux criminels.

Ils peuvent également vous demander d’installer des applications d’accès à distance (TeamViewer, AnyDesk) pour vous « aider ». Si vous leur donnez l’accès, ils peuvent voir tout ce que vous faites : vos codes SMS, notifications bancaires et approuver des virements pendant qu’ils regardent votre écran.

Que faire s’ils nous contactent :

Bitsa ne vous appellera JAMAIS pour demander des mots de passe ou codes. Si quelqu’un le fait, raccrochez immédiatement et contactez l’équipe de support sans délai.
Ne cliquez pas sur les liens de courriels ou messages après un appel suspect. Accédez toujours directement depuis votre application Bitsa ou depuis le site officiel de Bitsa (bitsacard.com).
Ne partagez jamais votre écran ni n’installez de programmes demandés par téléphone.
En cas de doute, contactez vous-même le support officiel via les canaux vérifiés dans l’application.

Comment vous protéger au quotidien

La meilleure défense contre la fraude est de savoir identifier les signaux de danger. Si vous appliquez ces mesures de sécurité de base, il sera très difficile pour les escrocs d’obtenir vos données ou votre argent.

Que faire si vous pensez être tombé dans une arnaque ?

Si vous soupçonnez avoir été victime d’une arnaque ou avoir partagé des informations sensibles, agir rapidement est primordial.

Bloquez vos cartes immédiatement avec votre application Bitsa.
Contactez le support officiel via le Centre d’aide.
Changez vos mots de passe et vérifiez vos dernières transactions.
Ne supprimez pas les messages ou courriels frauduleux. Toute preuve peut vous aider.
Signalez la fraude auprès des autorités compétentes :

Canaux officiels de Bitsa

Maintenir votre sécurité implique également de savoir identifier les canaux de contact légitimes. Bitsa ne vous demandera jamais de données personnelles en dehors de nos canaux officiels.

Cela signifie que nous ne vous contacterons jamais par WhatsApp, Telegram ou messages directs sur les réseaux sociaux.

Les escrocs améliorent leurs techniques chaque jour, mais ils ont un point faible : ils ont besoin que vous commettiez l’erreur. Ils ont besoin que vous cliquiez, que vous partagiez vos données, que vous agissiez sans réfléchir.

Avec ce guide, vous avez tout le nécessaire pour gagner la partie. Vous savez maintenant reconnaître leurs astuces, vous connaissez les signaux de danger et vous disposez des outils pour vous protéger. La différence entre être victime et être protégé réside dans l’application de ce que vous avez appris.

Rappelez-vous la règle d’or : s’ils vous pressent, c’est une arnaque. Si vous doutez, arrêtez-vous et vérifiez. Et si vous avez besoin d’aide, la véritable équipe de Bitsa sera toujours disponible via les canaux officiels.

Votre argent, vos données, votre sécurité. Ne les offrez à personne.